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 Andreas Bathory { ANCIEN }

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2 participants
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Andreas Bathory
car j'enseigne et je fais part de mon expérience...
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Andreas Bathory


âge : 310
Masculin Messages : 73
résidence : Powell Castel
love ///
créateur : Comtesse Elisabeth Bathory
à propos de moi Passionné, taciturne, secret, réservé, colérique...

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âge: 294 ans
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MessageSujet: Andreas Bathory { ANCIEN }   Andreas Bathory { ANCIEN } Icon_minitimeJeu 19 Mar - 0:33



    I. Informations Personnelles

    ♦️ Nom de Famille : Bathory
    ♦️ Prénom(s) : Andreas
    ♦️ Sexe : Mâle
    ♦️ Genre : Ancien
    ♦️ Âge d'Ancienneté : 294 ans
    ♦️ Âge Immortel : 27 ans
    ♦️ Date & Lieu de Naissance : Six février mille-sept-cent-quatorze à Szeged dans le sud de la Hongrie royale
    ♦️ Date de Morsure : Vingt novembre mille-sept-cent-quarante-et-un

    II. Détails

    ♦️ Origine : Hongroise, région de Bàcskiskun
    ♦️ Prénoms & Noms des Parents : Kristof et Liliàna Eötvös
    ♦️ Prénoms des Frères et Sœurs : Aucun
    ♦️ Fonctionnement Psychologique :

    Je n'aime pas me définir, je ne me considère pas de ceux que l'on peut lire en un regard, ceux qui révèle leur nature avant d'avoir ouvert la bouche. Ce sont des choses que nous voyons facilement nous les vampires : une expression rapide, un battement de cœur plus rapide lorsqu'on aborde certaines questions, des mouvements trompeurs. Rien n'échappe à nos sens. Je ne suis pas ainsi. Cela fait longtemps que j'ai appris à ne pas montrer à tout le monde la personne que je suis vraiment. Réservé, peu de gens me connaisse autrement. Je préfère parler peu, et quand un son sort de ma bouche c'est que j'ai quelque chose d'intéressant et de constructif à énoncer. Il n'y a rien de plus exaspérant que de parler pour le seul plaisir d'entendre sa voix. Il y a des vampires charmés par leurs propres avantages. Il y a donc celui que j'accepte de montrer : calme, le plus souvent en retrait, les yeux regardant un point imaginaire. C'est un réel avec les néophytes quand ceux ci commence à s'enflammer. Et puis il y a moi, passionné par son rôle dans l'institut à aider ses jeunes, protecteurs comme avec ses propres enfants, très facilement énervé. Il m'arrive parfois de m'éclipser dans la forêt alentours afin de me clamer si je sens que la colère monte trop en moi. La nature du Canada est apaisante et il y passe souvent des randonneurs égarés.
    J'ai la chance, parmi l'ensemble de la population vampire, de faire partie des élus qui possèdent un dons. Je peux influencer mentalement sur les décisions d'autrui. Il m'arrive rarement d'en faire usage, je n'aime pas m'imposer dans l'esprit de quelqu'un afin de lui imposer mes choix. C'est une atteinte à la liberté que je suis pourtant obligé par moment d'utiliser pour le bien de l'institut, de mes protégés ou de moi même. Je ne sais pas exactement comment cela fonctionne, j'ai pourtant mené de nombreuses expérience durant mes deux siècles d'existence, plus ou moins douloureuses d'ailleurs. Il semblerait que cela soit en relation avec mes yeux ou les traits de mon visage qui, mettant en confiance mon interlocuteur, me permette de l'inciter à penser de la même manière que moi. Je ne suis pas parfait et les vampire plus âgés, tels que Billy Viper, ou ayant énormément d'expérience arrivent plus ou moins facilement à aller contre mon pouvoir.

    ♦️ Description Physique :

    A l'instar de ses pairs, Andreas a un visage d'ange. Il possédait déjà un certain charme lorsqu'il était vivant, mais celui ci s'est décuplé à sa transformation. Son corps élancé, musclé tout en restant assez fin dégage énormément de prestance. Il ne paraitra jamais négligé même dans un simple t-shirt. Ses châtains aux reflets doré s'accordaient autrefois avec le noisette de ses yeux, désormais caché sous le rouge. Celui ci est souvent des plus vifs car le vampire aime à se tester en s'assoiffant afin de voir jusqu'à quel moment il peut résister à l'appel du sang. Jusqu'à maintenant, il a à chaque fois du boire car il se sentait trop faible et donc vulnérable, mais sa volonté n'a jamais été ébranlé même après plus d'un mois de jeun. Ses lèvres pulpeuses sont d'une nuance plus claire mais font ressortir ses dents parfaitement blanches ainsi que ses canines légèrement plus pointues que la moyenne. Comme tous les vampires il a la peau aussi blanche et dure que la marbre. A vrai dire rien ne le différencie des autres spécimens de son espèce.

    III. Histoire

    ♦️ Passé Humain :

    J'ai vu pour la première fois la lumière du jour en 1714, dans la grande ville de Szeged en Hongrie du sud. Mes parents étaient des personnalités importantes de la région, en relation directe avec le roi. Ma mère m'avait eu sur le tard, dans sa 35ème année, ce qui représentait à l'époque les deux tiers de la vie d'une personne en parfaite santé. J'étais destiné à être fils unique, héritier du nom, des terres et de l'influence de ma famille. Les Eöstvös étaient connu pour avoir de nombreuses voix à la cours ce qui leur permettait d'avoir les plus proches faveurs du roi. Je fus élevé dans cet optique. Précepteurs, séjour dans des couvents orthodoxes, nombreuses semaines passées à Budapest chez mes tantes... Je ne réfléchissais pas au pourquoi du comment et suivait les instructions de mon père et de ma mère. Au 18ème siècle il n'était pas dans la coutume que les enfants se rebellent et mènent leur vie comme il leur chantait.
    J'entretenais une véritable admiration pour ma mère. Elle avait réussi à s'imposer au milieu d'hommes dans les affaires politique du comté dont ma famille s'occupait. Mon père n'étant pas extrêmement intéressé par ces affaires, préférant ses randonnés dans la montagne ou ses voyages à travers le pays, elle devait gérer seule l'intendance. Les premières années on lui avait ri au nez, mais depuis qu'elle avait réussi à sauvegarder l'économie locale malgré la crise qui touchait le royaume, on la considérait comme le seigneur des alentours au même titre que mon père Kristof. Cela allait de soit que je ne la voyais pas énormément, passant le plus clair de mon temps avec des nourrices ou des enseignants. Elle m'accordait pourtant toujours quelques moments de tendresse par jour, comme une mère des plus normales. Il va s'en dire que mon monde s'écroula quand elle s'éteignit après de nombreuses souffrances lorsque j'eus 17 ans. La maladie l'avait rongée depuis ma naissance et ne s'était révélé que 7 ans après l'accouchement. Elle avait souffert durant dix ans avant de donner son dernier souffle à mon père en lui faisant jurer de mieux s'occuper de moi, contrairement à ce qu'il avait fait jusqu'à maintenant.
    Je me murais alors dans une tour de silence, voir ni adresser la parole à personne, restant à ruminer dans mes appartements les moments que je ne passerais pas avec Liliàna. Je n'était qu'un enfant, et on m'avait retiré la chose la plus précieuse dans mon monde. Mon père désespéra vite de me faire entendre raison et, trahissant la parole qu'il avait fait à ma mère, repartit à ses occupations de voyage et de jeux. Alors que je n'avais que 18ans, il demanda de l'accompagner dans la région Györ près de l'actuelle Slovaquie. C'était la première fois qui me proposait cela et j'acceptais avec plaisir. Plus je restais dans notre manoir, plus le fantôme de ma mère me hantait, me suivant pas à pas au milieu des couloirs sombres. Ses intentions se révélèrent très vite beaucoup moins honorable que ce que j'avais pensé. Il avait rencontré une jeune fille lors d'un précédent voyage et avait décidé de me la présenté afin que je la demande en mariage.
    Otilia Jozsef n'était pas mon idéal féminin, mais comme déconnecté du monde je suivis les instructions de mon père. Je me retrouva ainsi, à peine sortit de l'enfance, marié à une femme inconnue d'à peine 14ans qui venait s'installer dans le manoir familial.
    Je vous épargne nos années de vie conjugale. Les seuls événements importants qui se produirent durant une longue période furent la mort de mon père à mes 20ans, me laissant l'ensemble de son patrimoine, ainsi que la naissance de ma fille la même année. Mon petit ange blond était le portrait craché de ma mère et la chose à la plus importante de ma vie. J'avais laissé l'intendance du comté à ma femme, sur l'exemple de mon père, mais m'occupait à coté de mes études de droit. Je ne comptais passer ma vie à être rentier et avais pour ambition de devenir avocat. J'étais plutôt doué dans ce domaine, mon charisme naturel m'aidant assez souvent à tirer des vérités aux personnes à qui je parlais.
    En 1741, alors que j'allais avoir mes 23 ans, le juge de Szeged qui était mon tuteur pour la dernière année de mes études m'envoya à plus de 500km de chez moi, loin de ma femme (que j'avais finalement appris à aimer) et de ma fille...


Dernière édition par Andreas Bathory le Jeu 19 Mar - 1:02, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Andreas Bathory { ANCIEN }   Andreas Bathory { ANCIEN } Icon_minitimeJeu 19 Mar - 0:34

    ♦️ Le jour où... :

    Le nord de la Hongrie avait apparemment quelques problèmes. La province autours de la ville de Trenčín voyait ses enfants disparaitre un à un sans aucune explication. Tout le monde connaissait ce lieu et il était dit qu'il était maudis. Un siècle plus tôt, la comtesse Bathory avait fait couler beaucoup d'encre et de sang. C'était la légende populaire de dire qu'elle était responsable de la disparition et des meurtres d'une trentaine de jeunes femmes dont elle avait bu le sang après les avoir torturé. Je ne croyais pas beaucoup à ses histoires de vieilles femmes surtout là pour expliquer et excuser les dérives de la famille royale. Pourtant les lieux ne me mettait pas à l'aise. J'étais arrivé le matin du 20 novembre et, après avoir déposé mes bagages dans l'auberge du village, j'avais commencé mon enquête. Le juge attendait de moi que je découvre qui enlevait les enfants afin de le trainer devant la justice à Budapest, cela me permettrait de faire mes preuves et de quitter sa tutelle.
    Personne dans les alentours ne pu me dire un renseignement intéressant, je décidais donc de me balader un peu, à la recherche de trace quelconque. Le village était surplombé d'un gigantesque château, sombre et inquiétant, haut perché sur sa colline : la château d'Elisabeth Bathory. Je frissonnais en le voyant, espérant ne jamais avoir à y mettre les pieds. Il était abandonné depuis la mort de sa propriétaire et devait grouillé de bestioles plus ou moins recommandables. Malheureusement pour moi, je découvris quelques gouttes de sang sur l'écorce d'un arbre solitaire en bordure du chemin qui menait à la maison de l'horreur qui avait vu tant de femme périr sous la soit-disante folie de la comtesse. J'avalais difficilement ma salive et jetais un œil à ma montre à gousset qui contenait un camé de ma fille. Il fallait que je sois courageux et que je revienne entier à la maison, pour elle.
    Je poussai la porte autrefois condamnée mais désormais à peine retenue par ses gonds. Le château était vide, pillé il y a bien des années par des habitants du village peu scrupuleux. Je repérai dans la pénombre, car la nuit commençait à tomber, une goutte brillante près de l'escalier principal. Une nouvelle trace de sang. Il fallait croire que j'étais chanceux de trouver cela le premier jour de mon investigation... Je me dirigeais à l'aveuglette dans les couloirs sinueux. Soudain, alors que je ne savais même pas où je me trouvais, je passai devant une porte d'où j'entendis sortir un petit gémissement. Mon sang se glaça et j'hésitai entre partir en courant et aller voir ce qui se passait. La seconde option l'emporta difficilement. Mon coeur battait à tout rompre quand je posai ma main sur le bois moisi.
    La pièce carré était éclairée par une centaine de bougie et la lumière m'aveugla un instant. Lorsque mes yeux s'habituèrent à la nouvelle lueur, je fus figé d'horreur et en même temps subjugué par ce qui se trouvait devant moi. Au milieu de la salle se trouvait une femme extrêmement belle. Sa peau était d'une blancheur de lys et ses longs cheveux bruns encadraient un visage parfait, éclairé par deux yeux rouge sang. Je n'avais vu que quelques gravure de la comtesse Bathory mais j'aurai pu reconnaître son regard avide n'importe où. Il ne faisait aucun doute qu'elle n'était pas morte et enterrée comme le précisait la légende. Pourtant elle devait avoir maintenant plus de 200 ans. Je ne me laissai cependant pas occupé l'esprit par ce genre de calcul ou de problèmes chronologiques. La comtesse était entourée d'une dizaine de corps d'enfants mort dont les yeux encore ouverts révélaient une profonde angoisse. Eux même étaient entourés des squelettes de petits animaux qui devaient dater de plusieurs années. En revenant sur cette vision aujourd'hui, je pense que la comtesse s'était enfermée dans son château après son procès, s'était nourrie de petits animaux et de vermine afin de reprendre des forces jusqu'à enlever des enfants qui s'approchaient un peu trop de sa demeure afin de recouvrir complètement ses capacités. Après deux siècles de solitude, elle ne voulait désormais plus qu'un compagnon.
    Je n'eus même pas le temps de me retourner ou de cligner des yeux que la porte derrière moi était refermée et la magnifique femme à quelque centimètres devant moi. Ses yeux incandescents me fixaient avec avidité. Bien que plus petite que moi et très frêle, la vampire s'empara de ma tête et enfouie son visage dans le creux de mon cou. Je sentis immédiatement une douleur atroce à ce niveau. Elle avait planté ses ongles et ses petites dents dans ma chair et je l'entendais respirer bruyamment contre mon oreille. Je tombais à genoux, sans force, jusqu'à m'allonger par terre alors qu'elle continuait à sucer le sang qui coulait dans mes veines. Je jetais un dernier regard à ma montre, à ma fille, à mon ancienne vie, avant de sombrer dans l'inconscience.
    Celle ci ne dura que quelques minutes. La douleur me réveilla violemment. J'étais allongé sur la pierre froide et pourtant tout le haut de mon corps était en feu. Je cherchais des yeux, paniqué, les flammes qui léchaient mes épaules et mon cou. Mais celles ci se trouvaient manifestement à l'intérieur de moi. Je ne pu retenir un cri de douleur lorsque je sentis que quelques chose se diffusait en moi à une lenteur à vous rendre fou. Je pouvais sentir chaque veine de mon corps, chaque millimètre gagné par le venin. Je ne respirais presque plus, ou du moins que par acoup. Mon cœur n'arrivait plus à avoir un rythme normal et des cris horribles sortaient de ma bouche sans que je ne m'en rende compte. Je ne pouvais bouger aucune partie de mon corps, figées dans la douleur, clouées au sol. Les larmes qui n'avait plus touchées ma peau depuis mes 17 ans coulaient maintenant abondamment sur mes joues.
    Après des heures de souffrances, peut être une douzaine à sentir la douleur s'accentuer et se diffuser pas à pas à l'intérieur de moi, je jetais un coup d'œil à ma gauche, là où je savais que la comtesse se trouvait. Elle me regardait toujours aussi avidement, un sourire gourmand et impatient sur les lèvres d'où perlaient encore quelques gouttes de mon sang. Elle murmurait quelque chose. Je ne saisi pas immédiatement, mais juste avant de sombrer une nouvelle fois dans le noir je sus qu'elle s'adressait à moi et me qualifiait de « beau, jeune, tu es beau, jeune ».
    Ma transformation dura deux jours. Elle fut plus rapide que celle de la plupart de mes semblables car la comtesse avait cru bon de me mordre un peu partout sur le corps, ne pouvant s'empêcher de goûter quelques gouttes de plus de mon nectar rouge. J'alternais les phases de conscience plus violentes les unes que les autres où je ne faisais que crier et pleurer avec les doux moments d'inconscience où je faisais des sortes de rêves horribles et traumatisant. La douleur disparu aussi vite qu'elle était apparue. Je me levais d'un bond, surpris par mes nouveaux réflexes, ma vitesse et ma force. La comtesse ne me regardait pas, elle était fixée sur la porte. Celle ci était ouverte, laissant voir à contre jour la silhouette encapuchonnée d'un homme.
    Je vis alors voler à travers la pièce la tête de ma créatrice. Deux nouvelles silhouettes sortirent de derrière l'homme imposant pour se jeter dessus et commencèrent à préparer un feu. Je ne savais pas ce qu'il se passait et je n'avais pas envie de le savoir. J'avais soif. Une impression horrible au fond de ma gorge et dans mon estomac. Rien de solide ne pouvait me contenter, j'avais envie qu'un liquide chaud et épais coule dans la bouche, le long de mon gosier, jusqu'à arriver dans mes entrailles. J'avais envie de sang. Sans me poser aucune question je sautai par la fenêtre, atterri de plus de 80m sans aucun dommage et me mis à courir en direction du village. Ma vitesse était si importante que ce qu'il y avait autours de moi aurait du m'apparaitre flou. Pourtant je voyais tout très distinctement, je sentais les odeurs des camélias qui se trouvaient à plus de 300m de moi dans la plaine, et je n'étais pas du tout fatigué par ma course. Soudain, au virage du sentier, une splendide odeur s'imposa à mon odorat. Je m'arrêtai net et fus immédiatement enivré, suivant le délicat fumé jusqu'à son origine : une jeune femme dans le champ face à moi faisait paitre ses moutons.
    A la vitesse de l'éclair je me jetai sur elle. Elle n'eut pas le temps de pousser un cri que la vie avait déjà quitté son enveloppe charnelle. Le sang répondit à toute mes espérances, je bu jusqu'à la dernière goutte, sentit mon esprit partir très loin dans les méandres de ma conscience. Pourtant je ne fus pas repus à la fin de mon repas et me releva à la recherche d'une nouvelle proie.
    Quelqu'un posa sa main sur mon épaule. Je me retournai. Il y avait derrière moi une quinzaine de silhouettes noires que je n'avais ni vu ni entendu arrivé, trop occupé à boire le fabuleux nectar. L'homme qui me touchait avait la même peau blanche que moi. Il s'avança lentement et me glissa quelques mots à l'oreille.
    A partir de ce moment là, je commençai ma vie de vampire. Je refusai la proposition que l'un des lieutenant des Volturi venait de me faire et continuai seul ma route, semant désordre et mort sur mon passage jusqu'à ce que Billy Viper me découvre en France alors que j'étais déjà responsable de plus d'une centaine de meurtre dans la région de Aix en Provence. Alors qu'ils venaient pour mettre fin aux agissements trop voyant de la comtesse, les Volturi m'avaient proposé de les rejoindre en Italie car ils étaient intéressé par le don qu'ils avaient décelé en moi. Je ne tenais pas à être exploité, et la soif me tenaillait trop pour vouloir partager avec d'autres vampires. Pourtant j'acceptais sans problème l'aide que voulait m'apporter Billy, et rejoignis son institut.


    IV. Hors-Fiche

    ♦️ Comment avez-vous connu le forum ? : Donnez moi un L, donnez moi un M, donnez moi D et un P! Youhouuuu
    ♦️ Pourquoi vous êtes-vous inscrit ? : Quelle question! Parce que c'est un forum signé Ced', que le contexte m'a beaucoup plus, qu'il m'offrait une nouvelle base de rp... Il m'a surtout énormément attiré ^^.
    ♦️ Comment trouvez-vous le design ? : <3! Les deux premières bannière sont superbes!
    ♦️ Avez-vous lu l'histoire et les règles ? : oui
    ♦️ Quelle est la star de votre avatar ? : Michael Weatherly
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Billy Viper
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MessageSujet: Re: Andreas Bathory { ANCIEN }   Andreas Bathory { ANCIEN } Icon_minitimeJeu 19 Mar - 1:09

Bonsoir Andreas,

j'ai vraiment accroché à ton histoire, avoir repris l'histoire d'Elisabeth Bathory était une bonne idée. C'était à double tranchant, je n'aurai pas aimé une version trop poussée, mais tu t'es débrouillé à merveille. J'ai vraiment adoré, et c'est avec plaisir que je t'accueille sur le forum en tant qu'Ancien.

Bonne soirée à toi et amuses-toi bien avec nous. Wink
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MessageSujet: Re: Andreas Bathory { ANCIEN }   Andreas Bathory { ANCIEN } Icon_minitime

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